Parking : Dans l’Alpe d’Huez, prendre la direction du téléphérique (si on est monté à vélo, on en profitera pour passer la ligne d’arrivée). Au rond point du téléphérique prendre en face -légèrement sur la
gauche-, on sort alors de la station et on continue sur le plateau pendant près de 4 km jusqu’au bout de la route.
Du parking, on surplombe le 1er lac, le lac Besson, avec à côté le lac Noir. On rejoint facilement l’Alpette en 3 km, entre lacs et balcon sur le massif de Belledonne ou la vallée de la Romanche. Il y a une
multitude de traces, plus ou moins sur le bord de l’eau, plus ou moins sur le talus surplombant les lacs et offrant la vue sur les massifs, de part et d’autre des lacs….Toutes arrivent au même endroit, l’Alpette,
avec, tout au fond du décor, le Vercors.
A l’Alpette, prendre plein est la direction du refuge de la Fare et s’élever dans un petit chemin raide et rocheux au dessus du lac réservoir. Ce sentier est en pointillés sur la carte, on suit parfois les traces de
peinture dans la caillasse mais rien de trop méchant.
On arrive alors 230 m plus haut au refuge de la Fare (ouvert non gardé en hiver). Sur le rocher, juste avant le refuge, on pourra lire (il y en avait au moins déjà une au niveau du parking) une plaque sur l’histoire du
maquis de l’Oisans et de la mise à l’abri de blessés face aux troupes allemandes.
Continuer encore à monter sur une centaine de mètres de dénivelé pour trouver un paysage plus ouvert sur une sorte de vaste plateau d’altitude. Traverser la dépression face à soi, monter encore une quarantaine
de mètres avant de profiter d’une vue plongeante sur le lac de la Fare, et la conclusion de l’épopée de l’hôpital du maquis de l’Oisans, au niveau du refuge Rajon.
Dans un paysage lunaire longer le lac, rejoindre le lac du milieu puis le col du lac Blanc.
sorte de marche, au pied du glacier de la Barbarate, profiter du lac de Balme rousse, longer le pied du glacier des Rousses puis rejoindre le col du lac Blanc.
dessai ), son simulateur d’avalanches, etc.
Du col, pour à peine 100 m de D+, on s’offrira un « sommet », le dôme des petites Rousses.
On peut alors rentrer directement. On peut aussi faire un détour par le lac sans nom, sous le téléphérique du pic du lac Blanc.
Dans ce cas, traverser le col du lac Blanc, prendre l’évidente piste carrossable qui mène sans problème à ce lac. Très belle vue sur la brèche de Sarenne et la face impressionnante qui sert de support à la piste
du tunnel.
Dans le virage avant d’arriver au lac, on aura vu une piste qui descend d’environ 90 jusqu’au bas de l’ancien glacier de l’Herpie, dont il semble encore exister quelques restes sous forme glacier rocheux. On
remonte ensuite 60 m pour atteindre le haut de la télécabine des marmottes et départ du téléphérique du même nom.
Descendre alors la piste jusqu'au torrent du lac blanc, remonter quelques mètres un éperon (le sentier qui semble contourner n’amène à rien) puis continuer à descendre.
A la vue de retenues collinaires sous le télésiège du Lièvre blanc, ne pas chercher à couper pour rejoindre la piste carrossable mais au contraire viser l’épingle : le bon sentier (pas très visible au départ) est en
face (à mi-chemin entre les retenues et l’épingle). Il rejoint l’aplomb du téléphérique des grandes Rousses, passe la paroi rocheuse via une piste de ski.
On vise alors le parking par un assez évident chemin à droite.