Le col d’Izoard (et non de l’Izoard, comme on dit souvent) évoque immanquablement quelques légendes cyclistes.
Ce fut tout de même, avant tout, une route militaire construite entre 1893 et 1897 ; il s’agissait de pouvoir envoyer facilement des troupes vers les zones frontalières.
Puisqu’aujourd’hui l’intérêt stratégique ne demeure que sur la grande boucle, pour parler de vélo, on trouvera ses descriptifs et historique : sport-passion ; cols-cyclisme ; le cartographe ; le dico du tour .
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Tour du grand Peygu et fort de la Lausette
La première partie du tour du grand Peygu s'élève dans des alpages censés fourmiller de marmottes, avec une belle vue sur le col d'Izoard. C'est peutêtre là le principal avantage de cette rando qui est, sans les marmottes, il faut le reconnaître, banale. Bon, c'est toujours mieux que de pointer au boulot...
Dans la seconde partie, à défaut d'indication, on cherche parfois le bon sentier.
· Accès
Sur la route du col d'Izoard, Se garer sur le parking à droite 300 m après le Laus.
· Topo
Du parking, il faut suivre la route d'Izoard sur 400 m environ pour prendre le sentier à droite. On peut aussi traverser la route et suivre le torrent, mais on ne revient pas bien en face du chemin à prendre. Si on a pris cette option, lorsqu'on voit une patte d'oie, avec un chemin qui part complètement à gauche, c'est à ce niveau qu'il faut remonter sur la route.
Une fois attaqué le chemin, il y a une longue montée en forêt (4 km), d'abord assez raide puis plus à plat.
On finit par arriver en surplomb des alpages, au niveau des chalets d'Izoard et du torrent du même nom.
Redescendre 80 m environ et suivre le torrent. Il n’est pas nécessaire d’aller jusqu'aux chalets.
Une fois récupéré le sentier, ne pas vouloir couper trop court et remonter dans une première combe. on arriverait alors à une pointe qui, certes, offre un joli point de vue sur tout l'alpage et sur un sentier en face bien marqué qui doit mener au col des Ourdeis, mais ne mène nulle part et oblige à une redescente pas évidente.
Continuer le sentier jusqu'au col. Au col, prendre le sentier qui descend dans le pierrier à gauche.
A 2320 m, faire bien attention à descendre dans l'épingle à droite, et non à aller tout droit, dans une trace qui ne mène à rien.
A 2230 m on rejoint une piste carrossable. Prendre à droite et remonter. C'est impressionnant, mais il n'y a, en réalité, qu'une trentaine de mètres à monter avant de prendre à gauche la direction du fort de la Lausette, vers 2285 m. Il y a la piste carrossable marquée sur la carte, il y a aussi une trace piétonne qui coupe tout droit...
Le fort ressemble plus à une grosse baraque...
Redescendre et reprendre la piste à gauche en direction des baraquements, qui ne sont que ruines. Au fond il y a une sorte d'abri sous roc.
Le crochet par les baraquements est optionnel mais on a vite fait de louper le chemin de redescente, qui est en épingle à droite. Il faut, en fait, à ce niveau, suivre la trace du sentier VTT.
A la première intersection, il faut descendre à gauche et ne pas suivre la direction "Le Laus par la combe", à moins qu'on n'ait pas son compte de kilomètres...
Massif :
Briançonnais |
Secteur :
Cervières |
Diff :
2,5 |
Distance :
15,5 |
Altitude :
2612 |
Dévivelé :
1050 |
Intérêt :
2 |
| Réalisé le : 24 juillet 2015 |
Index IBP :125 |
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| 01 Col d'Izoard |
02 On ne risque pas de tomber sur un os |
03 Grand Peygu |
04 |
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| 05 Alpage de Percagne |
06 |
07 |
08 |
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| 09 Percagne et col d'Izoard |
10 Charmant |
11 baraque juste avant le fort |
12 Fort de la Lausette |
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| 13 Fort de la Lausette |
14 Vallée de Serre-Chevalier |
15 Crête des Gondrans |
16 Crête des Gondrans annontée |
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| 17 Oui, ce sont les.... |
18 Baraques |
19 Baraques |
20 abri sous roc |
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| 21 Suivre l'indication VTT |
22 Et prendre la petite sente en épingle à cheveux |
23 Un peu de macro |
Quotation sur 4
L'indice IBP est un système automatique d'évaluatin objective de la difficulté d'un itinéraire, notamment utilisé par la FFRP, qui en propose l'usage ici
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La crête des Gondrans en panorama annimé (cliquer sur l'image)
